Call of Duty: Black Ops 7 devait relancer la hype autour de la série de jeux culte, mais s’est transformé en épisode controversé record. Entre critiques négatives, campagne jugée catastrophique et utilisation maladroite de l’IA, ce volet est déjà considéré comme le pire de la licence par une large partie des joueurs et des médias spécialisés.
Call of Duty Black Ops 7 : un lancement catastrophique pour la série
Dès son premier week-end, Call of Duty Black Ops 7 s’est heurté à un mur : un score utilisateur de 1,7/10 sur Metacritic, soit la pire note de toute la franchise. Même Modern Warfare III, déjà mal aimé, faisait mieux avec 2,3/10. Pour une saga évoquée dans les listes des jeux vidéo les plus vendus au monde, le choc est brutal.
Sur Steam, les chiffres ne racontent pas une histoire plus joyeuse. En cumulant Black Ops 7, BO6, Modern Warfare III et Warzone 2.0, le pic n’a fait qu’atteindre environ 100 000 joueurs simultanés sur le week-end de lancement. Dans un paysage où Battlefield 6 dépasse les 300 000 et ARC Raiders frôle les 480 000, le nouvel opus donne l’impression d’un tir manqué.
- Note utilisateur ultra basse : 1,7/10, la plus mauvaise de la série.
- Pic Steam timide : moins de 100 000 joueurs même en comptant plusieurs titres.
- Réception glaciale : campagne critiquée, multijoueur sous-exploité, IA contestée.
| Épisode | Score utilisateur Metacritic | Pic joueurs Steam (week-end de lancement) | Perception générale |
|---|---|---|---|
| Modern Warfare III (2023) | 2,3/10 | ~200 000 (estimé, bundle CoD) | Accueil mitigé, lassitude de la communauté |
| Black Ops 6 | Autour de 5–6/10 | ~250 000 (estimé, bundle CoD) | Correct mais sans éclat |
| Black Ops 7 | 1,7/10 | < 100 000 (avec d’autres CoD) | Considéré comme le pire épisode |
| Battlefield 6 | Non applicable (autre licence) | ~300 000 | Retour en grâce d’un concurrent direct |
| ARC Raiders | Non applicable (autre licence) | ~482 000 | Succès surprise du multijoueur coopératif |
Un vétéran de la licence, Marc, qui joue à tous les jeux vidéo Call of Duty depuis le premier Modern Warfare, résume le sentiment général : “Black Ops 7 donne l’impression d’un produit en pilote automatique, sans âme ni vision”. Ce ressenti va peser lourd sur l’avenir de la série de jeux.
Pourquoi Black Ops 7 est-il considéré comme le pire épisode de la série ?
Ce nouvel opus coche quasiment toutes les cases du “mauvais lancement”. La communauté pointait déjà du doigt un reveal trailer peu inspiré, mais peu imaginaient un tel naufrage. La campagne ratée, la technique inégale et la monétisation agressive ont terminé d’achever la confiance des fans.
Le contraste est violent avec les attentes d’un public habitué à voir Call of Duty figurer parmi les jeux vidéo les plus joués au monde. Cette fois, la marque Call of Duty n’a pas suffi à sauver le lancement.
- Campagne jugée “catastrophique” par de nombreux créateurs de contenu.
- Choix technologiques (serveurs pour la campagne) incompris par les joueurs.
- Feeling général : un jeu qui surfe sur le nom, sans l’âme Black Ops.
| Critère | Attentes des joueurs | Résultat Black Ops 7 | Impact sur la perception |
|---|---|---|---|
| Campagne solo | Scénario solide, ambiance sombre, personnages marquants | Intrigue confuse, ton léger, personnages oubliables | “Pire campagne de la licence” pour certains |
| Multijoueur compétitif | Gameplay dynamique, maps mémorables, skill gap clair | Maps génériques, gunplay plat, progression frustrante | Érosion des joueurs dès la première semaine |
| Stabilité technique | Expérience fluide dès le lancement | Problèmes d’optimisation, latence, crashs | Notes utilisateurs en chute libre |
| Monétisation | Battle pass clair, cosmétiques travaillés | Bundles agressifs, contenu IA contesté | Sentiment de “jeu boutique” plus que de FPS |
Le constat est simple : là où un Call of Duty moyen était autrefois pardonné, un Black Ops décevant en 2025 devient immédiatement le symbole d’une franchise en perte de repères.
Campagne Black Ops 7 : un récit jugé bâclé et déconnecté des fans
La campagne de Black Ops 7 était censée replonger les joueurs dans l’ADN thriller de la saga. Résultat : de nombreux critiques parlent de “pire campagne de toute l’histoire de Call of Duty”. L’histoire part dans tous les sens, avec un ton parfois proche d’un battle royale cartoon plutôt que de la guerre froide paranoïaque ou de la guerre moderne sombre qui a fait la réputation de la licence.
Pire encore, le mode solo est hébergé sur des serveurs en ligne, comme un mode multijoueur. Même seul, impossible de mettre sur pause, ce qui brise l’immersion et frustre les joueurs qui veulent profiter tranquillement d’un FPS scénarisé.
- Scénario critiqué : dialogues plats, twists prévisibles, manque de tension.
- Ton incohérent : blagues et skins flashy cassant le sérieux de la mission.
- Connexion permanente obligatoire : même pour le solo, impossible de jouer confortablement hors-ligne.
- Coop mal intégrée : structure pensée comme un service, pas comme une aventure.
| Élément de campagne | Ancien Black Ops | Black Ops 7 | Réaction des fans |
|---|---|---|---|
| Protagoniste | Mason, Woods, Menendez, figures marquantes | Personnages peu développés, sans identité forte | Attachement quasi nul aux héros |
| Structure des missions | Missions scriptées, rythme cinématographique | Segments fragmentés, structure “live service” | Perte de tension narrative |
| Ambiance | Noire, complots géopolitiques, interrogatoires | Ton décalé, quasi parodique par moments | Rupture avec l’identité Black Ops |
| Pause/solo | Jeu intégralement jouable hors-ligne | Connexion permanente, non-pausable | Vives critiques sur la liberté du joueur |
Pour un joueur qui enchaîne aussi bien les grosses productions que des titres plus discrets comme le jeu d’infiltration Eriksholm, l’écart de soin entre ces campagnes devient impossible à ignorer. Dans une ère où les FPS narratifs doivent se réinventer, Black Ops 7 donne l’impression d’un scénario généré par algorithme plus que d’un récit pensé pour marquer.
Un solo pensé comme un service, pas comme une histoire
Le choix de faire tourner la campagne sur des serveurs rappelle un jeu live service plus qu’un tir à la première personne narratif. L’objectif semble clair : harmoniser les infrastructures techniques entre solo et multi, et faciliter l’intégration d’événements ou de mises à jour.
Mais la communauté attendait autre chose. Les fans historiques de Black Ops ont toujours vu la campagne comme un pilier, au même titre que le multijoueur compétitif. En transformant cette expérience en service verrouillé, l’équipe a brouillé son message et sacrifié une partie de la magie.
- Priorité au modèle service plutôt qu’à l’immersion solo.
- Risque de coupure de serveurs à long terme, et donc d’un jeu “incomplet”.
- Comparaison défavorable avec d’autres FPS narratifs actuels.
| Aspect | Ce que veulent les joueurs | Ce que propose BO7 | Conséquence |
|---|---|---|---|
| Accessibilité | Jouer quand on veut, même hors connexion | Connexion permanente requise | Frustration, exclusions de certains joueurs |
| Immersion | Pause, rythme libre, rejouabilité | Pas de pause, interruptions possibles | Immersion cassée, abandon de la campagne |
| Pérennité | Possibilité de rejouer dans 10 ans | Dépendance aux serveurs d’Activision | Crainte de voir le contenu disparaître |
Dans un contexte où l’impact des jeux vidéo sur une génération entière est analysé dans des dossiers comme ceux de DualMedia Esports, ce choix de design risque d’alimenter le débat sur la propriété réelle des jeux achetés.
Un multijoueur compétitif en panne d’inspiration et d’impact
Si la campagne déçoit, certains joueurs espéraient que le multijoueur compétitif sauverait Black Ops 7. C’est souvent là que la franchise brille, avec un gameplay nerveux, des cartes iconiques et un système de progression addictif. Pourtant, le constat est une nouvelle fois amer.
Les critiques évoquent un gunplay peu percutant, des cartes génériques et une impression de déjà-vu qui tranche avec l’innovation qu’offrent aujourd’hui d’autres titres de tir à la première personne. La comparaison avec d’autres FPS, ou avec les meilleurs jeux vidéo multijoueur en ligne, est rarement à l’avantage de BO7.
- Maps oubliables : peu de points d’ancrage visuels, layouts convenus.
- Armes peu distinctives : sensations proches d’une arme à l’autre.
- Progression frustrante : grind long, récompenses peu excitantes.
- Matchmaking discutable : SBMM perçu comme trop agressif.
| Élément multijoueur | Ce qui a fait le succès passé | Situation dans Black Ops 7 | Effet sur l’expérience |
|---|---|---|---|
| Cartes | NukeTown, Firing Range, Slums, etc. | Maps nouvelles, mais peu marquantes | Baisse de la mémorisation et de l’envie de grind |
| Gunplay | Recul maîtrisé, impacts lisibles, satisfaction des kills | Sensation “molle”, impacts peu lisibles | Manque de plaisir à chaque duel |
| Progession | Déblocage d’armes et d’atouts motivant | Beaucoup de grind pour des cosmétiques discutables | Sentiment de farming forcé |
| Compétitif | Ranked mode structuré, e-sport fort | Manque de clarté sur la vision compétitive | Hésitation de la scène pro à s’engager |
Les joueurs qui jonglent entre les FPS, qui comparent déjà Valorant, Battlefield ou CoD dans des analyses comme cette comparaison entre Valorant et Call of Duty, sentent immédiatement quand une proposition multijoueur tourne en rond. Black Ops 7 n’échappe pas au verdict.
Des mécaniques compétitives qui peinent à convaincre
Dans l’écosystème du multijoueur compétitif, chaque décision de design compte. Les overclocks, les perks revisités, le système de prestige d’armes et la structure des ranked devraient donner envie de s’investir des centaines d’heures. Pourtant, ce BO7 laisse un arrière-goût d’expérimentation inachevée.
Les joueurs les plus impliqués décrivent un environnement où l’équilibrage semble approximatif, où le TTK manque de cohérence et où les récompenses visuelles ne donnent pas envie de se dépasser. À l’heure où des athlètes ou célébrités comme Donovan Mitchell revendiquent ouvertement leur passion pour le gaming, comme on peut le lire dans des dossiers autour du lien entre Donovan Mitchell et les jeux vidéo, ce manque d’attrait compétitif est un signal d’alarme.
- Sensation de “déjà joué” sur les mécaniques.
- Manque de lisibilité sur la future scène e-sport.
- Moins de clips viraux et de moments forts partagés sur les réseaux.
| Mécanique | Objectif | Ressenti des joueurs | Conséquence compétitive |
|---|---|---|---|
| Overclocks | Créer des pics de puissance temporaires | Peu lisibles, parfois déséquilibrés | Difficulté à concevoir un jeu fair-play |
| Weapon Prestige | Motiver le grind des armes | Grind perçu comme répétitif | Désengagement à moyen terme |
| Ranked | Proposer un environnement compétitif clair | Interface et feedback peu motivants | Moins de joueurs investis en mode classé |
Résultat : là où le multi aurait pu sauver l’image de Black Ops 7, il devient un argument supplémentaire pour parler de fans déçus et d’un épisode controversé dans l’histoire de la franchise.
IA générative et direction artistique : le cœur de la controverse
Un des aspects les plus discutés autour de Black Ops 7 concerne l’utilisation de l’IA générative. Une partie des cartes d’appel, des icônes et certains éléments visuels affichent un style “IA” immédiatement reconnaissable, avec ce rendu un peu lisse et impersonnel que les joueurs repèrent au premier coup d’œil.
Activision a admis, via la fiche Steam et des déclarations publiques, l’usage d’outils IA pour soutenir le développement, tout en affirmant que la vision créative restait entre les mains d’humains. Mais les critiques négatives pointent une sensation inverse : celle d’un produit généré en chaîne, loin des artworks marquants des anciens volets.
- Art direction discutée : icônes et cartes d’appel perçues comme génériques.
- Crainte pour la créativité : peur d’un remplacement progressif des artistes.
- Image ternie : suspicion d’économie de coûts plutôt que d’innovation.
| Aspect visuel | Avant (épisodes précédents) | Black Ops 7 | Réaction communautaire |
|---|---|---|---|
| Cartes d’appel | Illustrations uniques, style marqué | Style perçu comme généré par IA | Rejet, moqueries sur les réseaux |
| Icônes | Design précis, lisible, pensé gameplay | Détails étranges, incohérences visuelles | Doute sur le soin apporté |
| Communication | Focus sur les artistes et concept arts | Mise en avant vague d’“outils numériques” | Manque de transparence pointé du doigt |
La question n’est plus seulement “est-ce que le jeu est beau ?”, mais “est-ce que ce jeu respecte encore le travail humain derrière un blockbuster AAA ?”. Dans un marché où même des projets originaux ou un jeu de combat Avatar prévu en 2026 mettent en avant leur direction artistique, cette impression d’art automatisé fait tache.
IA utile ou raccourci dangereux pour la série de jeux ?
Beaucoup de studios utilisent aujourd’hui l’IA pour accélérer certaines tâches, générer des prototypes ou assister les équipes créatives. Là où le bât blesse pour Black Ops 7, c’est que le résultat final donne le sentiment non pas d’un outil, mais d’un pilier de production.
Les joueurs ne rejettent pas l’IA par principe, mais refusent qu’elle serve de substitut à l’ambition artistique qui a fait de Call of Duty un champion des jeux vidéo AAA. Quand un FPS donne l’impression d’être “assemblé” plutôt que conçu, la confiance s’effrite.
- IA bien utilisée : prototypage, aide aux itérations, support des artistes.
- IA mal perçue : contenu final peu inspiré, sensation de cheap.
- Clé du futur : transparence et équilibre entre outil et vision humaine.
| Usage de l’IA | Bénéfice potentiel | Risque | Perception dans BO7 |
|---|---|---|---|
| Concepts préliminaires | Gagner du temps pour explorer des pistes | Paresse créative si non retravaillé | On a l’impression de voir ces concepts bruts |
| Assets cosmétiques | Production rapide de variantes | Style générique, répétitif | Cosmétiques jugés sans âme |
| Communication | Valoriser l’innovation technologique | Image de “remplacement de l’humain” | Polémique sur le respect des artistes |
Cet épisode ouvre une vraie réflexion : jusqu’où l’IA peut-elle aller dans un FPS grand public sans sacrifier ce lien affectif entre développeurs et joueurs ? Black Ops 7 apparaît déjà comme un cas d’école, souvent cité dans les débats sur l’avenir de la création dans le jeu vidéo.
Monétisation, fatigue de franchise et concurrence féroce
Au-delà de la technique et du gameplay, Black Ops 7 symbolise aussi une fatigue de franchise. Le modèle économique, déjà critiqué, franchit un nouveau cap aux yeux de nombreux joueurs : battle pass omniprésent, bundles cosmétiques premium, skins IA suspects…
Dans un environnement où de nombreux titres free-to-play ou premium proposent des modèles jugés plus respectueux, cet épisode de Call of Duty donne l’impression de pousser la monétisation au détriment du plaisir. Certains parlent même d’un “launcher de boutique” plaqué sur un tir à la première personne moyen.
- Bundles chers : perception d’un rapport contenu/prix défavorable.
- Cosmétiques discutables : style IA, manque de cohérence thématique.
- Progression liée à la boutique : sentiment d’incitation constante à l’achat.
| Élément | Attente des joueurs | Réalité BO7 | Effet sur la communauté |
|---|---|---|---|
| Battle pass | Cosmétiques inspirés, progression rewardante | Paliers jugés peu attractifs | Baisse des achats, critiques en ligne |
| Bundles premium | Skins uniques, design travaillé | Skins perçus comme génériques/IA | Accusations de monétisation abusive |
| Événements | Moments forts, modes temporaires fun | Événements liés à la boutique | Fatigue et désengagement |
Dans ce contexte, certains joueurs se tournent vers d’autres expériences, qu’il s’agisse de la nostalgie d’un Mario détaillé dans les coulisses du mythique niveau 1-1, ou de nouvelles licences ambitieuses. Black Ops 7 n’arrive pas à imposer cette envie de rester “coincé” dans son écosystème.
Quand le pire épisode de Call of Duty fait réfléchir la communauté
Le plus marquant dans ce lancement raté, c’est peut-être la réaction des joueurs. Au lieu de simplement râler pour ensuite retourner grind, une partie de la base semble vraiment remettre en question sa fidélité à la licence.
À côté, d’autres genres ou licences reviennent sur le devant de la scène, des beat’em up comme un possible Ninja Gaiden 4 chez Platinum à des jeux de combat survitaminés. L’effet domino est clair : si Call of Duty n’est plus un achat automatique, le marché entier du FPS AAA doit se réinventer.
- Montée en puissance des concurrents directs et indirects.
- Réflexion accrue sur la valeur réelle d’un AAA à 80€+ monétisé.
- Attente d’un véritable “reboot de philosophie” pour la licence.
| Réaction | Profil de joueur | Changement de comportement | Impact pour la licence |
|---|---|---|---|
| Boycott partiel | Fans historiques déçus | Achat repoussé, attente de promos | Baisse de revenus day one |
| Migration | Joueurs compétitifs | Passage à d’autres FPS ou BR | Perte de visibilité e-sport |
| Curiosité distante | Public occasionnel | Suivi des tests, visionnage de streams | Moins de précommandes pour les prochains opus |
Black Ops 7 ne restera pas seulement comme un épisode controversé. Il pourrait devenir le moment où une génération entière de joueurs a compris qu’une licence aussi massive que Call of Duty pouvait vraiment se heurter à son public.
Pourquoi Call of Duty Black Ops 7 est-il autant critiqué ?
Les critiques négatives visent principalement la campagne jugée faible, un multijoueur compétitif peu inspiré, une optimisation technique inégale et une monétisation agressive. Les joueurs reprochent aussi une utilisation visible de l’IA générative dans certains éléments visuels, ce qui donne l’impression d’un épisode bâclé et déconnecté de l’identité historique de la série de jeux.
Black Ops 7 est-il vraiment le pire épisode de la série Call of Duty ?
Sur le plan des notes utilisateurs, oui : avec un score d’environ 1,7/10 sur Metacritic, Black Ops 7 affiche la pire note de toute la franchise, derrière même Modern Warfare III. Les chiffres de joueurs sur Steam, nettement inférieurs à ceux des autres jeux de tir à la première personne concurrents, renforcent cette perception de pire épisode aux yeux d’une grande partie des fans.
La campagne de Black Ops 7 vaut-elle la peine d’être jouée ?
La campagne peut intéresser ceux qui veulent se faire leur propre avis ou suivre l’évolution du lore, mais la majorité des retours parlent d’un scénario confus, d’un ton mal dosé et d’un mode solo dépendant de serveurs en ligne, impossible à mettre en pause. Pour un joueur attaché aux campagnes marquantes des anciens Black Ops, l’expérience risque d’être décevante.
Le multijoueur de Black Ops 7 est-il compétitif ?
Le multijoueur propose des modes classiques, un système de ranked et diverses options de personnalisation, mais beaucoup de joueurs estiment que le gunplay manque de punch, que les cartes sont peu mémorables et que la progression ressemble trop à un grind forcé. Il est possible de jouer en compétitif, mais l’enthousiasme n’est pas au niveau des meilleurs épisodes de Call of Duty ou d’autres FPS du marché.
L’utilisation de l’IA a-t-elle vraiment pénalisé Black Ops 7 ?
Ce n’est pas l’IA en soi qui pose problème, mais la manière dont son usage se reflète dans le jeu final. Des éléments visuels perçus comme générés par IA, combinés à une communication jugée floue, ont renforcé l’idée d’un épisode produit trop vite et trop froidement. Associée à d’autres défauts, cette perception a contribué à nourrir la controverse autour de Black Ops 7.


